Nous avons réalisé puis observé une préparation microscopique de microbes unicellulaires vivants d’une eau croupie. L’observation a été faite à des grossissements croissants (x 40, x 100, x 400).
Vidéo réalisée au club :
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ou plus tard. Veuillez lire Débogage dans WordPress (en) pour plus d’informations. (Ce message a été ajouté à la version 6.7.0.) in /htdocs/wp-includes/functions.php on line 6114Nous avons réalisé puis observé une préparation microscopique de microbes unicellulaires vivants d’une eau croupie. L’observation a été faite à des grossissements croissants (x 40, x 100, x 400).
Vidéo réalisée au club :
Nous avons réalisé puis observé une préparation microscopique de feuille de l’élodée, un végétal chlorophyllien. Nous avons observé les cellules qui la composent. En plus des constituants classiques d’une cellule (membrane plasmique, cytoplasme et noyau), nous avons nettement vu les chloroplastes, organites intracellulaires contenant la chlorophylle. Ce pigment, qui donne la couleur verte aux végétaux, leur permet de convertir l’énergie lumineuse en énergie chimique utilisable par la cellule.
Vidéo réalisée au club :
Interprétation des images par les élèves :
Cette année plusieurs classes de 6e participent à un projet qui les invite à découvrir, réfléchir et agir en tant qu’éco-citoyens ! En effet face à l’urgence climatique, il paraît essentiel que les enfants d’aujourd’hui aient conscience des défis écologiques qui seront les leurs dès demain.
La première étape de ce projet a été de se documenter sur la notion de déchet. Une des étapes de ce travail d’informations a été la visite organisée par Mme Saint-Macary et Mme Burren-Damour sur le site du SMICVAL à Saint-Denis de Pile.
« En cette journée du 21 mars, les classes de 6e C et de 6e D ont passé une journée à Saint-Denis de Pile. Cette année, ces deux classes sont des classes éco-citoyennes. Le but de cette sortie était de nous sensibiliser au devenir de nos déchets.
En cette belle matinée ensoleillée, nous avons pris le bus pour nous rendre au SMICVAL. Arrivés sur le site, nous avons été divisés en deux groupes. Pendant que le premier groupe faisait des activités, le deuxième groupe visitait le centre de tri des déchets. Durant ces activités, nous avons appris que sans produit chimique nous pouvions réaliser des savons simplement avec de la glycérine naturelle, de l’huile d’amande douce ou de l’huile d’olive, de l’eau bouillante et des paillettes de savons de Marseille ; qu’avec des vieilles chaussettes, nous pouvions fabriquer des éponges et qu’avec de simples T-shirts usagés nous pouvions créer des sacs. Nous avons compris également que pour réaliser des yaourts à la poire, il est facile d’éviter l’utilisation des pesticides, du pétrole et du plastique.
Lors de la visite du centre de tri, nous avons pu constater qu’il était difficile d’écarter chaque déchet vu l’énorme quantité emmagasiné. Nous avons pu voir des petites boîtes, celles-ci sont installées sur le site afin d’accueillir des chauves-souris, ces petits mammifères sont là pour se nourrir de tous les insectes pouvant se trouver sur le site, notamment des moustiques.
Cette visite matinale terminée, nous avons pique-niqué, le but était bien évidemment de réaliser un pique-nique zéro-déchet.
En début d’après-midi, nous avons repris le bus pour aller au centre d’enfouissement des déchets de Lapouyade. Nous avons visité les serres de tomates, ce sont des écoserres©, les cultivateurs utilisent l’énergie produite par l’usine de traitement des déchets pour chauffer la production de tomates sans l’emploi de produits pesticides, ils utilisent le moins d’eau possible et mettent des filtres anti-insectes. Le zéro résidu de pesticide laisse des tomates saines à la consommation.
Nous sommes sur le retour, la journée a été très intéressante et enrichissante. Nous avons envie de faire maintenant encore plus attention à nos déchets afin d’aider à préserver notre planète. »
Compte-rendu rédigé par Maloïs Goudonnet, 6e D.
El día de los muertos
La fête des morts est une fête d’une grande importance au Mexique. Elle se déroule le 1er et 2 novembre juste après la fête d’Halloween qui n’a aucun rapport. C’est aussi une occasion pour se retrouver en famille.
El Día de Muertos est très festif, avec des offrandes de bonbons, de têtes de mort en sucre. Les Mexicains vont dans les cimetières, mangent sur les tombes, dansent, chantent. Ce n’est pas un jour triste pour eux. Ils confectionnent des autels dans leurs maisons et mettent des bougies dans leurs habitations.
Tu vois ici au CDI du collège du Val de Saye la réalisation d’un autel par les 8 classes de 5em, toutes mobilisées autour de ce projet pédagogique. Tous les éléments sont réunis : des têtes de mort, des couleurs vives et festives typiquement mexicaines, des guirlandes de papier (papel picado), des photos des personnes défuntes, des fleurs de zempaxuchitl….
Cet autel a été réalisé par les élèves de 5em du collège de St Yzan de Soudiac,
D’où vient cette fête ?
Lors de l’époque de Moctezuma (dernier empereur Aztèque), les habitants du Mexique avaient l’habitude de venir plusieurs fois par an sur les tombes des morts. La famille du défunt dansait, chantait et laissait des offrandes afin de pourvoir aux besoins du défunt dans l’au-delà. En réalité, les Aztèques pratiquaient 2 fêtes majeures: une pour les enfants (Miccaihuitontli), et une pour les adultes (Hueymiccalhuitl). La petite fête était célébrée 20 jours avant la grande.
Les Espagnols, eux, avaient l’habitude de venir dans les cimetières pour y déposer du pain, du vin et des fleurs pour la Toussaint. Les Espagnols pensaient que les âmes parcouraient la Terre et flottaient autour d’eux. Tous craignaient qu’elles s’abattent sur eux pour les emporter avec elles. C’est pourquoi ils préparaient des autels avec du vin et du pain pour les apaiser. Des cierges les guidaient jusqu’à l’autel. Le rituel Aztèque n’a donc pas été éradiqué par les Espagnols en les convertissant au catholicisme.
Comment la célèbre-t-on ?
Ce jour de la fête des morts, les familles vont rendre visite aux tombes de leurs ancêtres et les nettoient, les décorent, leurs mettent des fleurs (spécialement des fleurs oranges appelées zempaxuchitl) ainsi que des bougies. Les âmes des défunts reviennent sur Terre suivant un certain ordre. Il convient alors de leur donner les offrandes appropriées.
Des offrandes sont aussi faites dans chaque maison sur des autels situés dans les chambres des défunts, plus ou moins décorés et remplis selon les familles. On y trouve: du copal dans son encensoir, des fleurs porte-bonheur, des cierges allumés, des photos représentants le défunt de son vivant, des têtes de morts en sucre ou en chocolat, des fruits, le pain des morts, des bonbons, de la nourriture que le défunt appréciait le plus, des boissons, de l’eau bénite et diverses offrandes particulières au défunt (tabac, poteries…).